Le champ de la beauté
Le titre du livre vient d’un sonnet de Shakespeare et le livre explore comment la présence divine peut être trouvée dans les endroits les plus improbables, non seulement dans la beauté du monde, mais même dans les tragédies.
Les prêtres des bidonvilles apportent tranquillement un peu d’espoir aux favelas du Brésil, les “dames de Malte” – sculptures de femmes très grosses – qui sont les plus vieilles représentations de Dieu au monde, les différents effets d’une retraite de montagne sur un banquier, un travailleur social fatigué et un cancéreux, l’impact de la mort d’un enfant sur toute une communauté, toutes ces histoires et bien d’autres révèlent de façon émouvante comment le sacré s’exprime dans chaque vie, chaque lieu, chaque jour.
Pour lire un article présentant ce livre:
2019-01-23 – Article de Simon Maltais – Le champ de la beauté – Les carnets du parvis